Pages

Subscribe:

Ads 468x60px

Minggu, 26 Januari 2014

Depuis plus de mille ans, les élèves y sont répartis dès


Serdaigle
Serpentard
Devise    Draco dormiens nunquam titillandus
(« On ne chatouille jamais un dragon qui dort »)
Données clés
Créateur    J. K. Rowling
Première apparition    Harry Potter à l'école des sorciers
Dernière apparition    Harry Potter et les Reliques de la Mort
modifierConsultez la documentation du modèle

Poudlard (Hogwarts en version originale) est une école fictive créée par J. K. Rowling pour l'univers de la suite romanesque Harry Potter.
Dans le monde de Harry Potter, Poudlard est un pensionnat pour jeunes sorcières et sorciers. Le bâtiment, situé sur les collines d'Écosse, est invisible aux personnes sans pouvoirs magiques (plus communément appelées « moldus » par les sorciers), grâce à divers sortilèges. Il possède sept étages et plusieurs hautes tours, ainsi qu'un grand parc contenant un lac, une forêt et plusieurs serres à des fins botaniques. Outre ses nombreuses salles de classes, dans lesquelles des cours de sortilèges, de potions, de métamorphose, d'histoire de la magie et autres sont dispensés par des sorciers qualifiés, le château de Poudlard regorge de pièces étranges, comme la Grande Salle et son plafond magique, les salles communes, la grande bibliothèque, la mystérieuse Salle sur Demande ou encore la légendaire Chambre des Secrets. Un grand nombre de passages dissimulés, d'escaliers et de portraits de peinture mouvants, rendent la visite du château à la fois inquiétante pour les élèves les plus désorientés, et passionnante pour les plus curieux.
Depuis plus de mille ans, les élèves y sont répartis dès leur arrivée dans différentes maisons portant le nom des quatre fondateurs de l'école : Gryffondor, Poufsouffle, Serdaigle et Serpentard. Durant la scolarité du héros, Albus Dumbledore en est le directeur et les principaux chefs de maison sont les professeurs McGonagall, Chourave, Flitwick et Rogue.
La scolarité d'un élève se déroule sur sept années, commençant ses études à onze ans minimum et quittant l'école à dix-sept ans minimum. L'action de la saga Harry Potter se déroule essentiellement au sein de l'établissement, chaque roman équivalant à une année scolaire.
Sommaire  [masquer]
1 Présentation
1.1 Histoire de Poudlard
1.2 Architecture et localisation
1.3 Les quatre maisons
1.3.1 Cérémonie de la répartition
1.3.2 Caractéristiques
1.3.3 Fondateurs
1.3.4 Rivalité et manichéisme
2 Personnel

lteurs. Aujourd'hui, il ne reste quasiment plus d

Toning Trampols)
Western short grasslands
Végétation[modifier | modifier le code]
Article détaillé : Prairies, savanes et brousses tempérées.


Herbes de la Prairie et un bison
La savane (grassland en anglais) est la végétation dominante dans les Grandes Plaines : il s'agit d'une formation herbeuse fermée continue, à la différence de la steppe. Les arbres y sont rares. La hauteur et la nature des herbes varient en fonction de la latitude et des précipitations.
Les graminées dominent en surface où elles forment des plaques continues ou des touffes jointives, mais elles s'imposent dans le sol par un réseau dense de racines enchevêtrées, que seules les rhizomes et bulbes des Composées et Légumineuses arrivent à traverser. La plus grande partie des précipitations est absorbée par les graminées. La quasi totalité (95 %) de ces plantes sont des vivaces qui peuvent vivre de dix à vingt années.
Dans les Grandes Plaines la pluviométrie diminue d'est en ouest. Ainsi on peut séparer cet espace en deux aires en fonction de leur végétation, usuellement cette limite suit grossièrement le 104e méridien.
À l’est, il s'agit d'une prairie à hautes herbes : la « Prairie  » (tall grassland1) qui s’étend de l’Ouest des Appalaches au 104e méridien. Les plantes peuvent y dépasser 2 mètres de haut comme l'andropogon (Andropogon gerardii ou big bluestem en anglais). La côtoient l’Indian grass et le poa (Poa pratensis) et diverses espèces du forbs (nom donné au mélange des Composées et des Légumineuses). Cette formation se développe sur sols de prairie bruns (brunizem) ou noirs avec un fort pourcentage de matière organique, d’humus.
À l’ouest, sur le piémont des Montagnes Rocheuses, elle se transforme en herbes basses (short grassland (en)), vers 1 000 mètres d'altitude qui s'étend de l'ouest du 104e méridien jusqu'aux pieds des Montagnes Rocheuses. Les Graminées annuelles deviennent fréquentes. On y trouve l'Herbe à bison (Buchloe dactyloides), le Blue Grama ((en)) (Bouteloua gracilis) et même dans les régions les plus sèches l'Armoise (Artemisia tridentina). Ce type de prairie se développe sur sols de type chernozems.
Les incendies et le passage des grands herbivores, notamment les bisons, qui sont aujourd'hui au nombre de 500 00011 participent à la conservation de ce milieu ouvert mais n'en sont pas les facteurs principaux. La prairie est une formation végétale naturelle à cet endroit du globe.
Les défrichements réalisés par l'Homme ont réduit ce vaste milieu : le brûlis était pratiqué par les Amérindiens dès l'époque précolombienne. Puis les Blancs ont introduit de nouvelles espèces domestiques (bovins, moutons, chevaux). Ils pratiquaient la chasse intensive aux bisons et aux prédateurs. Certaines zones sèches ont été transformées en champs de céréales grâce à l'irrigation. Les marécages hérités de la dernière glaciation ont été drainés par les agriculteurs. Aujourd'hui, il ne reste quasiment plus de milieux vraiment naturels sauf dans les réserves et les parcs protégés. La prairie a tendance à reculer à cause de la désertification, malgré les efforts de préservation. Les incendies maîtrisés permettent d'éliminer les plantes invasives et de renouveler la fertilité du sol. Des animaux sont réintroduits ou protégés. On estime que 80 % de laines

nt sans rapports et disproportionnés ». McLuhan avançait que si cela rendait la prose d'Innis dense et difficile, « un schéma de pensée non conçu pour le palais du consommateur », la méthode d'Innis

 types d'effets qu'ils voyaient dériver de cette technologie. Alors qu'Innis considérait que la technologie de la communication affectait principalement l'organisation sociale et la culture, McLuhan avançait que l'effet principal s'exerçait sur l'organisation sensorielle et la pensée. McLuhan avait beaucoup à dire sur la perception et la pensée mais peu à dire sur les institutions ; Innis parla beaucoup sur les institutions et peu sur la perception et la pensée83.
Le biographe John Watson nota que le travail d'Innis était profondément politique alors que celui de McLuhan ne l'était pas. Il écrivit que « la mécanisation de la connaissance, pas le relativement consensuel biais des médias, est la clé du travail d'Innis. Cela souligne également la politisation de la position d'Innis par rapport à McLuhan ». Watson ajoute également qu'Innis considérait que des médias très différents pouvaient produite des résultats similaires. « Pour Innis, le journalisme jaune des États-Unis et les mégaphones nazis avaient les mêmes effets négatifs : ils réduisaient les hommes du statut d'êtres conscients à de simples automates dans une chaîne de commandement ». Watson avançait que si McLuhan séparait les médias suivant leurs biais sensoriels, Innis examinait un groupe différent de corrélations, la « dialectique du pouvoir et de la connaissance » dans des circonstances historiques spécifiques. Pour Watson, le travail d'Innis était donc plus flexible et moins déterministe que celui de McLuhan84.
En tant qu'universitaires et enseignants, Innis et McLuhan partageaient un même dilemme car les deux avançaient que la culture littéraire tendait à produire une homogénéisation de la pensée mais les deux rédigèrent de nombreux ouvrages. Dans son introduction à la réédition de 1964 de The Bias of Communication, McLuhan s'émerveilla de la technique d'Innis de juxtaposer ses « sa vision dans une structure mosaïque de phrases et d'aphorismes apparemment sans rapports et disproportionnés ». McLuhan avançait que si cela rendait la prose d'Innis dense et difficile, « un schéma de pensée non conçu pour le palais du consommateur », la méthode d'Innis s'approchait de la « forme naturelle de la conversation ou du dialogue plutôt que du discours écrit ». McLuhan écrivit « quelle excitation de rencontrer un écrivain dont chaque phrase invite à une méditation et une exploration prolongée85 ». Les livres de McLuhan avec leur utilisation d'aphorismes, de jeux de mots, de traits d'esprit et d'observations étrangement superposées employaient également la technique mosaïque d'Innis.
Les théories d'Innis sur l'économie politique, la société et les médias restent encore particulièrement pertinentes : Il eut une influence profonde sur la sociologie des médias et de la communication et, en conjonction avec McLuhan, offrit des perspectives révolutionnaires sur le rôle des technologies de communication en tant qu'acteurs clés des changements sociaux et historiques. Ensemble, leurs travaux avancèrent une théorie de l'histoire dans laquelle la communication est centrale dans les changements et les transformations sociales86.
Notes et références[modifier | modifier le code]